Valérie et Christophe, deux de nos ambassadeurs, sont partis découvrir Madagascar lors d’une aventure de 15 jours. Aux côtés de 6 autres voyageurs, ils ont vécu un voyage riche en émotions et en rencontres dans le nord de ce pays.
Avez-vous déjà été à Madagascar ? Si oui, pourquoi vouloir y retourner ? Si non, qu’est-ce qui vous a donné envie d’y aller ?
Valérie : “C’était notre première fois à Madagascar. Ça faisait un petit moment qu’on voulait y aller et que cette destination faisait partie de notre “To do list” de pays à visiter. On aime beaucoup voyager et nous avions cette curiosité de découvrir quelque chose qu’on ne connaissait pas du tout. Et puis un collègue de bureau m’a raconté son voyage et ça m’a donné encore plus envie de découvrir Mada à mon tour.”
Christophe : “Lorsque notre voyage à Madère a été annulé au mois d'août, une fois la déception passée, on était à vélo le lendemain et j’ai dit “on va découvrir Madagascar en novembre !” Je savais que ça allait nous plaire ! C'est un pays métissé, un mélange d’Inde, d’Europe, d’Asie et d’Afrique. C’est une destination remplie de richesses, et on n'a pas été déçu. Le peuple malgache est vraiment beau.”
Valérie : “Le plus dur a été de choisir où aller à Mada, car c’est un grand pays. Valérie, une autre ambassadrice Atalante, nous a aidé dans notre choix. Le nord pour une première découverte est parfait. Maintenant, je n’ai qu’une envie : c’est de découvrir le sud, un couple de voyageurs du groupe, qui connaît très bien Mada, nous promet un voyage d’aventures encore plus “roots” pour la découverte du sud."
Quelle est votre plus belle rencontre ?
Valérie : "Il y a vraiment deux rencontres qui m’ont marquée. La première s’est faite sur l’île de Nosy Komba, lorsque nous avons rencontré un monsieur au milieu de sa plantation de vanille, lors de la randonnée qui nous conduisait au sommet. Il a pris le temps de me montrer comment féconder à la main une fleur de vanille, en effet, ils n’ont pas la petite abeille qui s’en charge comme au Mexique. C’était incroyable ce moment de partage. Au retour, nous nous sommes arrêtés pour acheter sa vanille. Lorsqu’il l’a sortie, c’était comme un petit bijou enveloppé dans des sachets, c’était super. Ce court moment de partage et de transmission de ce savoir-faire typique de Madagascar avec ce petit papi était magique.
La deuxième rencontre qui m’a marquée était au sommet de cette même randonnée. Depuis le début du voyage, je voulais ramener une noix de coco coupée en deux pour m’en servir de bol par exemple. J’en avais ramassé sur une petite île paradisiaque, et j’avais prévu de les ramener. Et là, au sommet, dans une petite bicoque tenue par un homme vivant en autosuffisance, il y avait des cocos sur l’étagère ! Il a commencé à les fabriquer durant le COVID, lorsque le tourisme était à l’arrêt, et depuis il les vend. Du coup, je lui en ai acheté 3…
Lors de ces deux rencontres avec le peuple malgache, dans la campagne, il y a eu un vrai partage. Nous étions tous sur le même pied d’égalité à ce moment et à cet endroit-là, ce qui a donné lieu à un véritable échange."
La deuxième rencontre qui m’a marquée était au sommet de cette même randonnée. Depuis le début du voyage, je voulais ramener une noix de coco coupée en deux pour m’en servir de bol par exemple. J’en avais ramassé sur une petite île paradisiaque, et j’avais prévu de les ramener. Et là, au sommet, dans une petite bicoque tenue par un homme vivant en autosuffisance, il y avait des cocos sur l’étagère ! Il a commencé à les fabriquer durant le COVID, lorsque le tourisme était à l’arrêt, et depuis il les vend. Du coup, je lui en ai acheté 3…
Lors de ces deux rencontres avec le peuple malgache, dans la campagne, il y a eu un vrai partage. Nous étions tous sur le même pied d’égalité à ce moment et à cet endroit-là, ce qui a donné lieu à un véritable échange."
Christophe : “Les rencontres, ce sont aussi des rencontres plus furtives, avec des sourires d’enfants et d’autres que l’on prend dans les bras.
Et puis on a réellement pu rencontrer et apprendre à connaître notre guide, Lala qui est une personne très riche et César notre chauffeur qui a été aux petits soins avec nous. On a passé beaucoup de temps ensemble lors de moments conviviaux. Ce sont de super belles rencontres, c’est un duo d’enfer ! Compte tenu de l’état des routes malgaches, le chauffeur est tout aussi important que le guide dans ce circuit. Il a tout le temps sécurisé la route, il n’a jamais pris de risque, il a été super. "
Et puis on a réellement pu rencontrer et apprendre à connaître notre guide, Lala qui est une personne très riche et César notre chauffeur qui a été aux petits soins avec nous. On a passé beaucoup de temps ensemble lors de moments conviviaux. Ce sont de super belles rencontres, c’est un duo d’enfer ! Compte tenu de l’état des routes malgaches, le chauffeur est tout aussi important que le guide dans ce circuit. Il a tout le temps sécurisé la route, il n’a jamais pris de risque, il a été super. "
Quelle est votre plus belle randonnée ?
Valérie : “La randonnée dans les Tsingys. Il faisait extrêmement chaud, les paysages étaient à couper le souffle et nous avons pu observer des lémuriens et des caméléons. Nous étions accompagnés d’un très bon guide local, Jean-Jacques, ce qui était un vrai plus durant cette randonnée.”
Christophe : "Pour moi, c’est la randonnée dans la montagne d’Ambre, dans une forêt luxuriante. Il y a un microclimat, ce qui en fait un grenier à fruits. Il pleut énormément et il fait chaud donc dès qu’on plante quelque chose ça pousse. C’est une randonnée dans un environnement tellement verdoyant que les paysages sont vraiment extraordinaires. On a pris le temps de regarder les animaux et la végétation. On a fait cette balade le matin au sec, et à partir de midi, il s'est mis à pleuvoir et on s’est retrouvé sous une sacrée flotte !”
Quel est votre moment le plus mémorable ?
Valérie : “Les soirées conviviales avec le groupe, le guide et le chauffeur : nous avons passé de sacrés bons moments, avec de belles crises de rire. Il y avait beaucoup de convivialité dans notre groupe de voyageurs et il y a eu une connivence que nous avons rarement connue !"
Christophe : “Le premier soir dans les Tsingys gris, c’est parti d’une boutade, et avec les moyens du bord, on a fait un petit apéro improvisé. Le guide et le chauffeur ont préparé cette soirée avec les produits locaux : les noix de cajou achetées sur la route dans la journée et on a trouvé des fruits et hop, c’était prêt ! Nos échanges conviviaux nous ont permis de vraiment communiquer en profondeur avec le guide et le chauffeur sur leur vie, la vie à Mada, leurs familles…”
Christophe : “Le premier soir dans les Tsingys gris, c’est parti d’une boutade, et avec les moyens du bord, on a fait un petit apéro improvisé. Le guide et le chauffeur ont préparé cette soirée avec les produits locaux : les noix de cajou achetées sur la route dans la journée et on a trouvé des fruits et hop, c’était prêt ! Nos échanges conviviaux nous ont permis de vraiment communiquer en profondeur avec le guide et le chauffeur sur leur vie, la vie à Mada, leurs familles…”
Quels sont vos coups de cœur ?
Valérie : “Les sorties en mer, notamment celle dans un bateau traditionnel à voile. Sur la mer d’émeraude, nous avons navigué simplement avec la force du vent. Il n’y avait aucun bruit, c'était incroyable. Ça fait partie des beaux moments de ce voyage.”
Christophe : “Il y a aussi les derniers jours que l'on passe sur l’île de Nosy Komba. On est au cœur de la forêt luxuriante, c’est extraordinaire…"
Valérie : “Et sur l’île de Tanikely, nous avons fait du snorkeling, on avait l’impression d’être dans un aquarium géant.
Christophe : “Il y a aussi les derniers jours que l'on passe sur l’île de Nosy Komba. On est au cœur de la forêt luxuriante, c’est extraordinaire…"
Valérie : “Et sur l’île de Tanikely, nous avons fait du snorkeling, on avait l’impression d’être dans un aquarium géant.
Et puis il y a aussi la nourriture qui est un coup de cœur général, on a vraiment bien mangé durant ce voyage ! La cuisine malgache est simple, il y a tellement de fruits, de légumes et de poissons différents, tout est vraiment bon.”
Qu’est-ce qui vous a le plus surpris ?
Valérie : “Cette diversité de paysages, c’est incroyable de passer des Tsingys gris ou rouges, aux plages paradisiaques, en passant par la baie de Diego Suarez. Je garde aussi le souvenir surprenant des carrioles de zébus qui se mêlent aux voitures sur la route.”
Que diriez vous à nos futurs voyageurs pour leur donner envie de découvrir cette destination ?
Christophe : “Il faut partir sans à priori et se laisser porter. C’est un pays extraordinaire, avec une variété de paysages et une capacité d’échanges très riches, notamment dû au fait que ce soit un pays francophone. Les rencontres n’ont pas besoin d'être provoquées, elles se font d’elles-mêmes dans la rue. C’est un pays qui mérite d’être connu, car c’est une destination magnifique.”
Valérie : “Il ne faut pas avoir peur de l’imprévu, c’est un pays très “roots” par rapport à d’autres. On trouve toujours un système D pour se sortir d’une situation. À un moment du circuit, il y avait un arbre qui venait de tomber sur la route, tout le monde est sorti du bus pour arracher les branches et on est passé à côté. Ce sont toujours des chouettes souvenirs à raconter, ça fait partie du voyage dans le voyage !
Et on finit cette aventure sur un vrai “waouh” car on passe 3 jours dans des lodges sur une île avec une vue sur la mer, c’est extraordinaire du début à la fin.”
Valérie : “Il ne faut pas avoir peur de l’imprévu, c’est un pays très “roots” par rapport à d’autres. On trouve toujours un système D pour se sortir d’une situation. À un moment du circuit, il y avait un arbre qui venait de tomber sur la route, tout le monde est sorti du bus pour arracher les branches et on est passé à côté. Ce sont toujours des chouettes souvenirs à raconter, ça fait partie du voyage dans le voyage !
Et on finit cette aventure sur un vrai “waouh” car on passe 3 jours dans des lodges sur une île avec une vue sur la mer, c’est extraordinaire du début à la fin.”